L’ISTIC, le creuset du journalisme au Burkina Faso
L’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication développe ses enseignements dans les secteurs du Journalisme et des techniques de la Communication. Quelle que soit l’orientation choisie, l’Institut met l’accent sur le développement intégral de l’intelligence et de la pratique. La compétence recherchée inclut la gestion de soi, la lucidité et la citoyenneté.
L’Institut forme ses étudiants à des postes de responsabilité, impliquant vision stratégique et maîtrise opérationnelle de la fonction journalisme et communication dans les organes de presse et structures publiques et privées.
L'ISTIC qui propose une articulation de cours théoriques et pratiques sur la base d'une solide expertise des univers de la communication et des médias, souhaite apporter des réponses nouvelles à un environnement innovant.
L'importance des pédagogies innovantes, la volonté d'être en permanence à l'écoute des mutations de nos sociétés, de nos technologies, de nos entreprises, l'idée toujours présente de former des personnalités en phase avec un monde qui change en permanence, ont conduit l'ISTIC, à l'occasion de ses 40 ans, à viser plus loin et à proposer à ses équipes une nouvelle vision plus dynamique de son organisation.
La formation à l’ISTIC a connu une évolution notable depuis sa création en 1974. En effet, au départ, il s’agissait de former le personnel à la presse parlée, la presse filmée et la presse écrite.
Par la suite, l’ISTIC fut chargé de former les professionnels des Médias publics et privés de la sous- région et deviendra par la suite une composante du Conservatoire national des arts et métiers d’art.
La première promotion de l’ISTIC a été formée de 1976 à 1977 et était composée de 12 stagiaires : 6 journalistes recrutés au niveau 1ère des Lycées et Collège et 6 techniciens recrutés au niveau 4ème des Lycées et Collège.
L’ISTIC s’inscrit à la croisée des cultures. Elle invite ses membres à la confrontation des points de vue. Nous sommes fiers de compter parmi nous des ressortissants du Tchad, du Cameroun, du Gabon, de la RDC et du Burkina Faso.